Si vous avez des allergies saisonnières, alors vous savez à quel point elles peuvent être difficiles. Éternuements, démangeaisons oculaires, congestion nasale et pression sur les sinus, ces symptômes peuvent devenir difficiles à tolérer. Les antihistaminiques en vente libre et sur ordonnance sont efficaces pour soulager les symptômes, mais ils peuvent provoquer des effets secondaires, tels que la somnolence et la nausée. En conséquence, certaines personnes souhaitent essayer des alternatives naturelles.
Dans cet article, nous vous présentons les 8 meilleurs antihistaminiques naturels et nous vous expliquons comment cela fonctionne. En fin d’article, vous trouverez également les meilleurs aliments à favoriser pour soulager les crises allergiques et des conseils pour éviter les allergies respiratoires.
Qu’est-ce qu’une allergie exactement ?
Les allergies sont une réponse immunitaire de notre organisme à une substance souvent inoffensive. Cette substance – qu’il s’agisse de pollen, de poils d’animaux, d’un aliment, d’acariens ou de poussière – entre en contact avec les cellules des muqueuses du nez, de la bouche, de la gorge, des poumons, de l’estomac ou des intestins. Chez certaines personnes, il ne va rien se passer. Mais chez une personne allergique, le système immunitaire va considérer cet allergène comme une menace et il va alors déclencher la libération d’une substance chimique : l’histamine.
Les différents types d’allergie
Si au printemps, le rhume des foins fait partie des allergies les plus répandues et les plus gênantes pour les personnes sensibles au pollen, d’autres allergies existent également et peuvent être plus dangereuses.
En effet, il existe 3 grands types d’allergies : les allergies respiratoires, les allergies alimentaires et les allergies de contact.
Les allergies respiratoires
Les allergies respiratoires se déclenchent suite à l’inhalation des allergènes suivants : pollen, acariens, moisissures, poils d’animaux, poussière, etc. Ces particules microscopiques en suspension dans l’air s’introduisent dans le système respiratoire et s’installent sur nos muqueuses. Chez la plupart des personnes, cela ne va rien engendrer mais chez les personnes allergiques, le système immunitaire détecte la molécule, l’identifie comme une menace et va alors envoyer l’histamine pour la combattre.
Les symptômes sont bien connus : éternuements, yeux qui piquent et larmoyants, gorge encombrée, nez qui coule, etc.
Les allergies de contact
Les allergies de contact font suite à un contact direct de la peau avec l’allergène. On peut citer l’allergie à certains métaux contenus dans les bijoux (le nickel par exemple), aux cosmétiques, au latex, aux piqûres d’insectes, etc.
Ces allergies engendrent généralement des symptômes cutanés qui ne sont pas dangereux mais dans le cas d’une piqûre d’abeille ou de guêpe par exemple, il est important de surveiller la réaction de la personne. En effet, la peau et les muqueuses au niveau de la tête et du cou peuvent soudainement gonfler et gêner voire bloquer la respiration, c’est l’œdème de Quincke.
Les allergies alimentaires ou médicamenteuses
Tout comme pour les autres types d’allergie, l’allergie alimentaire est une réaction anormale de défense de l’organisme mais cette fois-ci à la suite de l’ingestion d’un aliment (gluten, lait, crustacés, arachides, etc.) ou d’une substance chimique.
De manière générale, les symptômes en cas de réaction allergique sont légers : picotements, démangeaisons ou éruptions cutanées. Mais pour certaines personnes, l’allergie peut devenir très grave voire même fatale. En effet, dans certains cas, l’allergie peut être tellement importante que les symptômes vont concerner différentes sphères de l’organisme :
- la sphère cutanée : démangeaisons, urticaire, éruptions cutanées, rougeurs, gonflement des lèvres, du visage et des membres.
- la sphère respiratoire : respiration sifflante, gonflement de la gorge, difficulté à respirer, sensation d’étouffement.
- la sphère digestive : crampes abdominales, nausées, diarrhée et vomissements.
- la sphère cardiovasculaire : pouls faible, étourdissements, perte de connaissance.
On entend également parler de réaction anaphylactique. Dans ce cas, les symptômes sont très prononcés et touchent plus d’une sphère mentionnée précédemment. Pour parler d’un choc anaphylactique, il doit y avoir chute de la pression sanguine. Celle-ci peut alors entraîner une perte de conscience, de l’arythmie et même la mort.
Comment fonctionne un antihistaminique ?
Comprendre le fonctionnement des antihistaminiques peut vous aider à mieux comprendre comment les antihistaminiques naturels peuvent être un allié pendant la saison des allergies. En effet, de nombreux antihistaminiques naturels fonctionnent exactement comme les médicaments contre les allergies que l’on possède dans nos armoires à pharmacie.
Les antihistaminiques sont des molécules qui bloquent l’activité de l’histamine dans le corps. Comme nous l’avons vu précédemment, l’histamine est une protéine qui déclenche des symptômes d’allergie, tels que des éternuements, des démangeaisons oculaires et une gorge irritée.
💡 Bon à savoir : un taux d’histamine trop important peut provoquer une intolérance à cette molécule et être associé à de nombreux troubles (maux de tête, troubles digestifs et inflammatoires, douleurs musculaires, troubles du sommeil, eczéma, etc.) Pour en savoir plus, lisez notre article sur l’histaminose.
Certains extraits de plantes et aliments peuvent, de la même manière que les médicaments, bloquer les effets de l’histamine. Découvrez tout de suite la liste des meilleurs antihistaminiques sans ordonnance :
Les 8 meilleurs antihistaminiques naturels
La quercétine
La quercétine est un antioxydant présent naturellement dans les oignons, les câpres et autres aliments. La recherche scientifique [1, 2] a démontré ses effets antihistaminiques et anti allergiques. Cette molécule est en effet connue pour son activité antioxydante dans le piégeage des radicaux libres et pour ses propriétés anti-allergiques caractérisées par la stimulation du système immunitaire, l’inhibition de la libération d’histamine et la diminution des cytokines pro-inflammatoires, entre autres.
Une étude de 2007 [3] a également démontré qu’elle diminue les symptômes de l’asthme allergique en réduisant la réponse inflammatoire dans les voies respiratoires.
💊 Comment la consommer ? Il est possible de trouver cet antihistaminique naturel sous forme de complément alimentaire ou d’ajouter plus d’aliments riches en quercétine à votre alimentation. Cependant, la prise de compléments de quercétine fonctionnera mieux et sera plus rapide que la consommation d’aliments qui en contiennent. En effet, les aliments contiennent des niveaux très faibles en quercétine, il faudrait manger beaucoup de quantité pour une réelle efficacité.
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Outre les aliments, la quercétine est également présente dans certaines plantes comme le sophora japonica, le ginkgo biloba, le moringa, le millepertuis ou la livèche par exemple.
L’ortie
L’ortie (Urtica dioica L.) est une herbe couramment utilisée en médecine alternative qui s’avère également être un antihistaminique naturel. Dans une étude visant à tester l’efficacité de l’ortie sur la rhinite allergique, 58 % des participants ont trouvé que leurs symptômes étaient soulagés par l’utilisation d’orties lyophilisées [4]. Les participants consommaient 300 mg d’ortie par jour.
Par ailleurs, l’ortie est riche en vitamine C, une substance qui favorise l’absorption de la quercétine et diminue les symptômes du rhume des foins. L’ortie peut être trouvée en ligne et dans les magasins d’aliments naturels, boutiques bio, etc.
Le pétasite
Le pétasite (Petasites hybridus) est une plante qui pousse dans le nord de l’Asie, en Europe et dans certaines parties de l’Amérique du Nord. L’extrait de pétasite est surtout apprécié pour sa capacité à réduire les migraines, les crampes d’estomac, la toux et l’asthme mais il est également connu pour lutter contre la rhinite allergique [5].
Il existe d’ailleurs des études qui montrent que cette plante peut être utile pour les personnes souffrant de rhume des foins. En 2002, une étude randomisée qui comprenait 131 sujets, a conclu que les comprimés de pétasite peuvent être tout aussi efficaces qu’un antihistaminique oral [6].
Le curcuma
L’ingrédient le plus actif de cette épice jaune est un composé appelé curcumine. Certains chercheurs affirment que cette molécule possède des capacités anti-inflammatoires puissantes [7] et serait même bénéfique pour soulager les allergies respiratoires.
Une étude pilote [8] menée en 2016 auprès de 241 patients a en effet révélé que les patients qui prenaient un complément alimentaire à base de curcuma pendant deux mois ont vu une réduction des symptômes de la rhinite allergique. Ils avaient moins de congestion nasale et moins de difficultés respiratoires.
La spiruline
La spiruline possède un pigment naturel appelé phycocyanine, qui serait à l’origine de ses vertus anti-inflammatoires et antihistaminiques. Elle permettrait notamment de réduire les écoulements nasaux, les éternuements, la congestion nasale et les démangeaisons [9].
La vitamine D
Cette vitamine a un rôle dans la régulation des cellules du système immunitaire et la libération de produits chimiques qui peuvent produire les symptômes de l’allergie. Une carence en vitamine D a d’ailleurs été associée à des allergies, notamment la rhinite allergique, l’asthme allergique, l’eczéma et l’anaphylaxie [10].
Plusieurs études suggèrent que la supplémentation en cette vitamine peut réduire l’inflammation et les réactions allergiques. En particulier, une étude a montré que les participants carencés en cette vitamine qui prenaient des suppléments de vitamine D avec des antihistaminiques ont constaté une amélioration des symptômes d’allergies après huit semaines [11].
Une autre étude a révélé que la réponse à l’immunothérapie allergénique pour soulager la rhinite allergique était meilleure chez les sujets présentant des taux optimaux de vitamine D et mauvaise chez ceux qui avaient une carence en vitamine D [12].
La vitamine C
La vitamine C est l’une des vitamines les plus importantes pour l’Homme. En plus d’avoir une multitude de fonctions dans l’organisme, il s’agit d’un antihistaminique naturel. Dans une étude de 2018 [13], les chercheurs ont remarqué que de fortes doses de vitamine C prises par voie intraveineuse réduisaient les symptômes allergiques.
Ils ont également constaté qu’une carence en vitamine C peut encourager les problèmes liés aux allergies, car la vitamine C est à la fois un antioxydant et un anti-inflammatoire puissant.
Les probiotiques
Les probiotiques sont des micro-organismes qui offrent des avantages pour la santé en aidant le corps à maintenir un équilibre sain du microbiote (les bactéries intestinales). Les probiotiques participent ainsi à renforcer le système immunitaire, ce qui permet d’aider le corps à combattre les allergies.
Bien que les études sur ce sujet ne soient pas nombreuses, l’Organisation Mondiale des Allergies (WAO) recommande l’utilisation de probiotiques comme antihistaminique naturel pendant la grossesse pour les femmes enceintes ou allaitantes dont le nourrisson serait à haut risque de développer une allergie [14].
Comment les consommer ? Vous pouvez consommer les probiotiques, sous forme de gélules ou en lacto-fermentant vos légumes. Voici un magasin sérieux qui vend des gélules de très bonne qualité : voir le produit.
Comment consommer ces plantes et molécules antihistaminiques ?
De manière générale, pour combattre l’allergie saisonnière (notamment l’allergie printanière), il est important de commencer la cure des plantes et molécules citées précédemment au moins 1 mois avant la période allergique. Ainsi, vous préparez votre corps et renforcer votre système immunitaire.
Continuez la cure pendant toute la période des allergies (au printemps par exemple) ou plus ponctuellement lorsque vous vous exposez à un allergène.
Vous pouvez intégrer ces molécules directement dans votre alimentation, mais si vos allergies sont fortes, nous vous recommandons de les consommer sous forme d’extrait titré en gélules ou comprimés. Sinon, la quantité d’aliments serait très importante à consommer pour obtenir suffisamment de substances actives. Pour la posologie, référez-vous aux conseils du vendeur, car celle-ci change en fonction de la qualité des produits.
En plus de ces substances antihistaminiques, nous vous recommandons également de soigner votre alimentation et si vous le pouvez, de privilégier les aliments anti-allergie.
Les aliments antihistaminiques
Certains aliments sont également riches en composés bénéfiques contre l’allergie, il est donc possible de favoriser une alimentation anti-allergique et anti-inflammatoire. Voici quelques aliments de la vie de tous les jours à favoriser pour aller mieux au quotidien :
L’ail
L’ail est un anti-inflammatoire naturel car il contient un composé appelé disulfure d’allyle, qui combat la production de cytokines pro-inflammatoires. C’est aussi un stimulant immunitaire bien connu.
L’ail contient également de la quercétine qui a la capacité d’inhiber la libération de l’histamine.
L’ananas
L’ananas contient de la bromélaïne, une substance anti-inflammatoire utile pour lutter contre l’allergie. Il s’agit d’une molécule anti-inflammatoire efficace pour traiter la détresse respiratoire et l’inflammation associées aux allergies [15].
Le romarin
Le romarin frais et séché est populaire dans la cuisine méditerranéenne et est délicieux dans de nombreuses recettes. Ces dernières années, la recherche a mis en lumière la capacité du romarin à combattre les symptômes d’allergies et à soulager les personnes asthmatiques.
Selon une étude [16] publiée dans le Journal of Restorative Medicine, cette plante populaire contient de l’acide rosmarinique, qui a à la fois des effets anti-inflammatoires et antioxydants. L’étude révèle également que l’acide rosmarinique est un piégeur de radicaux libres qui peut supprimer les réponses inflammatoires de certains globules blancs, ainsi que les anticorps allergiques. En d’autres termes : l’acide rosmarinique devrait aider à améliorer les symptômes d’allergies saisonnières.
Le thé vert
Le thé vert est une des boissons les plus consommées au monde et serait bénéfique contre les allergies. Cette plante contient en effet de l’épigallocatéchine-3-gallate (EGCG), un composant majeur de l’extrait de thé vert. L’activité biologique de l’EGCG comprend des activités anti-allergiques et anti-inflammatoires qui soulageraient l’asthme allergique [17].
De plus, une autre étude s’est penchée sur un thé vert appelé « benifuuki » pour déterminer son efficacité contre les allergies. Cette variété de thé contenant de la catéchine O-méthylée a considérablement soulagé les symptômes de la rhinite pérenne ou saisonnière par rapport à un thé vert normal qui ne contenait pas cette molécule. D’après cette étude, il serait conseillé de débuter la consommation de ce thé environ 1 mois et demi avant la saison des pollens [18].
Les pommes
Les pommes contiennent des procyanidines (polymères de catéchines) et de la quercétine, connus pour inhiber la libération d’histamine. Elles sont donc un très bon aliment anti-allergique [19].
Les oignons
La quercétine est le principal composant de l’extrait d’oignon qui est efficace pour contrôler la rhinite allergique. Toutefois, en plus de la quercétine, d’autres substances contenues dans les oignons comme la lutéoline, la fisétine, l’apigénine et les benzyl-isothiocyanates se sont également avérées avoir des effets anti-asthmatiques [20].
Les câpres
Avec plus de 234 mg pour 100 grammes, les câpres font partie des aliments les plus riches en quercétine. De ce fait, elles comportent une activité antihistaminique importante [21, 22].
7 Conseils pour éviter et soulager les allergies respiratoires
De manière générale, en plus de ces plantes et aliments antihistaminiques, soyez plus prudents lors des périodes d’allergies. Voici quelques conseils qui devraient vous aider à éviter les crises respiratoires allergiques.
Se doucher et laver ses vêtements plus souvent
Chaque fois que vous entrez dans votre maison, vous apportez de petits morceaux du monde extérieur avec vous. Après avoir été à l’extérieur, vos vêtements, vos chaussures, vos cheveux et votre peau sont recouverts de minuscules particules de partout où vous êtes allés. Prenez une douche et changez de vêtements pour éliminer les allergènes. Laissez aussi vos chaussures à la porte.
Porter un masque à l’extérieur, surtout en zones « à risque »
Cela empêchera les allergènes de pénétrer dans vos voies respiratoires lorsque vous ne pouvez pas éviter certains déclencheurs d’allergies, comme par exemple lorsque vous travaillez dans votre jardin ou que vous passez l’aspirateur. Un masque respiratoire N95, disponible dans la plupart des pharmacies et magasins de fournitures médicales, bloquera 95 % des petites particules, telles que le pollen et autres allergènes.
Manger sainement
Nous l’avons vu, certains fruits et légumes sont riches en molécules antihistaminiques. Dans une étude, les enfants qui mangeaient beaucoup de légumes frais, de fruits et de noix – en particulier des raisins, des pommes, des oranges et des tomates – présentaient moins de symptômes d’allergie. Il ne fait aucun doute qu’une alimentation saine est bonne pour votre corps. Ajoutez au moins un fruit frais et un légume à chaque repas.
Mieux s’hydrater
Si vous avez la sensation de mal respirer ou si vous avez le nez qui coule à cause de vos allergies, buvez plus d’eau, de jus ou d’autres boissons non alcoolisées. Le liquide supplémentaire peut fluidifier le mucus dans vos voies nasales et vous soulager. Les liquides chauds comme le thé, le bouillon ou la soupe ont un avantage supplémentaire : la vapeur.
Garder une maison propre et aérée
C’est l’un des meilleurs moyens d’éviter les allergènes à l’intérieur. Attention tout de même avec les produits d’hygiène chimiques et agressifs qui peuvent irriter vos voies nasales et aggraver vos symptômes. Faites vos propres nettoyants naturels avec des ingrédients du quotidien comme du vinaigre ou du bicarbonate de soude. Utilisez un aspirateur équipé d’un filtre HEPA pour piéger les allergènes. Si vous avez des allergies sévères, demandez à quelqu’un d’autre de ranger.
Faire des inhalations
Inspirez de la vapeur d’eau. Cette astuce simple peut soulager un nez bouché et vous aider à mieux respirer. Tenez votre tête au-dessus d’un bol d’eau chaude et placez une serviette sur votre tête pour retenir la vapeur. Vous pouvez y ajouter une goutte d’huile essentielle de menthe poivrée par exemple, pour plus d’efficacité.
Tester l’acupuncture
L’acupuncture est une pratique de guérison originaire de Chine il y a plus de 5000 ans. Il s’agit de stimuler les points méridiens du corps avec des aiguilles, des sondes de pression ou des sondes électriques. On pense que cela dirige l’énergie dans le corps.
Une revue de 2015 analysant 13 études sur l’acupuncture [23] pour traiter la rhinite allergique et impliquant un total de 2365 participants, a révélé que cette approche pourrait être utile pour soulager l’allergie.
Références scientifiques
Voir les références
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